New Russian Chronicles
Surviving monotaxocausofilia

Siegfried!

Bon, comme j’ai promis je parlerai maintenant de l’opera particulier que j’ai vu. C’est une opera de Wagner qui s’appelle Siegfried.
Une opera allemande, ça implique:

– Des gens qui chantent en allemand
– Quelqun qui s’appelle Siegfried
– Dieux nordics
– Dragons, nains, ours, et des trucs bien cool.
– Une ou plusieurs Valkiries.
– Une longueur considerable

Trilogies celebres

Faut dire aussi que Siegried c’est la troisième de la trilogie, mais bon, de tout manière chaque des parties tient plus au moins à soi même.

Comme je ne sais pas par où commencer, je vais suivre un peu l’ordre des elements que j’ai mis l’a en haut, et après je parlerai des elements innatendus. Dont il y a vait, et pas mal.

Voilà, il y avait de la bonne musique classique et des gens qui chantaient en allemand. Ça ne devrait pas être une surprise, c’est une opera de Wagner. Mais! Il y avait les celebres soustitres, alors j’ai pu suivre l’histoire. En essence, au debut du film Siegfried est né.
Et soyons hônnetes, quand une opera commence par une femme qui à accouche un enfant sous une tempète provoqué par Odin, et assistée par un nain venu de Midgard…. tu te dises que ça commence fort.
Non mais, serieux, j’ai vu ça et j’ai passé le reste de la fonction à jouir de l’histoire que on me racontait comme un gamin devant transformers, quoi

Birth of a hero.
Alors la damme (Sieglinde) , malhereusement meurt, et le nain garde l’enfant. Il ne le garde pas par charité, attention! Il se dit que le gamin, qui, j’imagine, devait avoir air d’hero depuis la naissance, allait être capable de tuer un certain dragon (Fafner) qui garde un trésor, et ainsi le garder pour lui. Bref, dans les 5 premiers minuts t’appends que le nain est, en fait, un connard.

Siegfried grandi, et il devients un mec bien costaud, bien musclée. Un vrai bête de la salle de sport, quoi. De ce que on t’explique au debut, il traite le nain un peu comme de la merde, il le fait travailler tout le temps pour le batir l’épée parfaite. Et oui, le nain est un forgeron. Mais il n’arrive pas à faire un sabre à l’hauteur de Siegfried, tout ce qu’il fait, Siegried le casse au premier coup.

Bulls and bears
L’accion commence un beau jour, quand Siegfried se presente à la maison avec un ours, representé dans l’action par un énorme nounours. Non, je déconne pas, et je regrette profondement ne pas avoir eu ma camera avec moi. Mais c’est pas super important pour l’histoire, simplement il en avait marre de tuer des ours avec les mains et alors il se fait pote avec eux.

Non mais il faut pas me régarder comme ça, c’était écrit dans les sous-titres, voyons!

Bon, pour continuer, ce beau jour Siegfried se met à parler avec le nain, qui par ailleurs s’appelle Mime. Par ailleurs il devient clair assez tôt qu’ils se détestent. En tout cas, Siegfriend commence à expliquer à Mime qu’il y a vu les couples d’oiseaux et autres animals, avec ses enfants, et qu’il avait commencé à se poser des question.

Et juste quand je pensais que on allait voir la tipique conversation sur “d’où viennent les bebés” entre un mec super musclé qui n’est jamais sorti de son fôret et un nain venu de Midgard qui a adopté un gamin par avidité, et qui en tout evidence n’a pas trop connu de femme, et tout ça chanté en allemand…

(ces deux gars, ouais)

Beeh… aba, non. Siegfriend commence à démander sur ses vrais parents. Le nain insiste qu’il est le seul parent de Siegfried et qu’il l’aime beaucoup (l’hypocrite, faux) et ne revele la vérité à Siegfried que quand Siegfried ménace Mime de le casser la gueule très bien cassée. J’invente rien, je promets.

Alors Mime explique que son père était mort en combat contre le dieux Wotan (Odin, pour les potes), et qu’il avait aidé sa mère et tout et tout. Il montre aussi à Siegfried les morceaux de l’épée de son père, Nothung. Cette partie était bien, car ça servé un peu comme resummé des autres deux parties de la trilogie (ou tetralogie, suis pas sur).

The action starts
Avec ça, Siegfried en a assez et décide de se barrer pour toujours, mais alors Mime, encore soigneux d’avoir le trésor affirme qu’il n’a jamais reussi à apprendre à Siegfried que est-ce qu’est la peur. Bref, il reussit à:

– Convaincre Siegfried de passer faire une visite à Fafner le dragon, en disant que le dragon le montrera la peur.
– Faire que Siegfried forge une nouvelle épée des morceux de notungman, chose que lui n’avait pas pu.
– Préparer une potion pour endormir Siegfried après le combat avec le dragon.
– Perdre un pari contre le dieux Wotan et finir par le devoir la tête. (Mais j’avoue que je n’ai pas trop vu le rapport avec la reste de l’histoire).
(Tout ça me fait penser, entre d’autres choses, que Siegfried n’est pas, peut être, super fûté)

Bon, Siegfried finit pour trouver la caverne du dragon, bavarder un peu avec le dieux Wotan (je parlerais de cette première rancontre après) aller visiter le dragon et le tuer. C’est qui est étrange, car Siegfried n’avait pas trop interêt dans l’or, ou la vague des Nibelungs. C’est un peu con, en fait, car le dragon faisait du mal à personne. En plus avec sa dernière haleine il raconte à Siegfried que Mime veut le trahir. Il était pas si méchant que ça, enfin!

[déjanté]
Et après ça il y a un oisaeu que passe sur scene et raconte à Siegfried qu’il y a une belle fille sur une montagne, endormie dans un anneau de feu magique. (Un quoi? Un… anneau? aaaaaaaaaaaaaaaah je vois). Et il se dit d’aller voir, car, mince, une fille. Et de tout manière je n’ai pas trop grande chose à faire cet aprem, a pensé Siegfried. Vous serez d’accord avec moi: Tout ça, ça ne s’invente pas!
[/déjanté]

Cutscene
Et a lors là il y a un interlude, Wotan fait une visite et reveille de son sommeil eternel à une autre Déese nordique pour le poser quelques questions, car il avait un plan pour faire vaincre Siegfried sur les dieux et finir ainsi l’age des dieux. J’ai pas super bien pigé cette partie, non, je pense que ça me manque un peu d’histoire des saisons précedentes.

Boss fight
Finalement Wotan retrouve Siegfried dans la montagne où dort Brunhilde, qui par ailleurs est une Valkirie et alors fille de Wotan, mais qui est endormie dans un cercle de feu parce qu’elle a intervenu en faveur de Siegmund, le papa de Siegfried, dans sa bataille avec Wotan. Il aparait là bas tel un boss final d’un jeu video, et il y a une bataille vraiment, mais vraiment cool entre Siegfried à l’épée et Wotan à la lance. Serieux. Qui disait que l’opera n’était pas amusant?

Roll your eyes: an emo love scene

Finalement Siegfried coupe en deux la lance de Wotan, l’age de dieux finit, et, ayant prouvé sa condition d’hero, il rentre dans le cercle de feu, déshabille enleve la cuirasse de Brühnilde et ainsi démarre le troisième acte. Et ce n’est pas un jeu de mots.

Le troisième acte c’est un peu le pire, en fait. Un pote avec lequel j’étais allée voir cette opera avait plaisainté “Haha mec, surement il va passer tout le premiere acte à disputer avec le nain, tout le deuxième acte à tuer le dragon, et tout le troisième à réveiller la fille”. Mince, que ses paroles ont été profetiques. Le mec il reveille la valkirie, ils se mettent à se jurer amour éternelle, et tout d’un coup Brunhilde pète un plomb et commence à dire qu’ils peuvent pas être ensemble car elle est une valkirie ou je ne sais quoi.

Au cas où, je repète: la nana a fait une crise de 30 minutes sur la scène, car, pour une raison que seulement elle comprend, elle pouvait pas être avec le mec qu’elle aimait. Non mais, attends quoi.

Bon… il faut être comprensif aussi, les rélations, quand elles commencent, elles font un peu peur, mince. Ok.

Mai ça a failli tourner au désastre, car je pouvais voir ce qui passait par la tête de Siegfried:
“Écoute pétasse, j’ai les hormones à full, j’ai jamais même pas VU une femme, j’ai passé ma vie dans un fôret avec un nain moche, et je suis plus puceau qu’un moin, et je viens de te sauver, merde je te jure que on va baiser ce soir, comme je m’appelle Siegfried.”

Alors finalement le bon Siegfried l’a convaincu et ils se sont jurés amour eternel pendant encore une demi heure… en plus elle a expliqué qu’elle aimait Siegfried même avant qu’il était conçu et que c’était pour ça qu’elle s’avait opposée a Wotan, et donnée la posibilité à Siegmund de… disons… faire Siegfried. Ouais. Ça doit être un peu de l’amour quantique.
Fin.

The cast

Finalement, je voulais ajouter que une des choses que j’ai aimé plus de tout c’est les charactères des personages. Moi,  j’attendais l’histoire un peu stereotype. Non, en fait, ok, l’histoire EST stéreotype. Mais les pérsonages ne le sont pas! On attends les bons très bons et les mauvais très mauvais, et pourtant le père putatif de l’hero est le méchant, avide et peu malin. Brünhilde n’est pas une héroine prédecible. Dans le sens que, sais pas, elle pouvait être forte et indépendante, ou aimer et remercier Siegfried sans plus. Non, elle sait pas trop quoi elle veut et elle emmerde un peu. Je veux dire que ses reactions seraient comprehensibles dans la vie réele, on à tous des pots qui ont un peu le cafard et tout et il faut les donner tout notre support. Mais…au milieu d’une opera de Wagner? Je m’attendais pas.

Et Siegfried? Mince, par où commencer. C’est à dire, qu’il est supposé être le bon, mais mince il est un vrai connard. C’est à dire, mince, si tu detestes le nain, c’est pas la faute du nain, casse-toi! Sois hereux!
Et en plus, pourquoi il cherche la bagarre avec le petit vieux qui, en fait, était le dieux Odin? Il n’y a pas de raison!

Et pourquoi il tue le dragon? Le dragon était là en train de dormir! Mince, il l’a tué et il n’a même pas pris l’or dans la caverne. Il s’en roulait un stick, lui.
Et au cas où tout ça c’était pas assez, je viens de lire sur wikipedia, et j’avoue que je le regrette, que en fait Sieglinde et Siegmund, les parents de Siegried, sont en fait frère et soeur… et comme si ce n’était pas assez, fils d’Odin… comme Brünhilde! merde…je voulais pas savoir!!!1!!!

Sinon et comme dernier detail, je voulais parler de l’escenographie. En fait les gars de l’opera de Sofia ont très bien compris l’histoire que je racontais, comme quoi l’opera n’est que une belle histoire de fiction pour se rêlacher. Alors ils ont compris ça et ils ont fait un peu science fiction, avec l’armure de Siegried qui était très consmique, le dragon qui était fait en metal, avec la fumée et tout, et on me raconte que les valkiries dans la fonction il y a un an montaient pas de chevals, mais des roquets. Genial.

Faut dire que même sans les roquets c’est cool les valkiries.

Et finalement, un commentaire pour la musique! Il est clair que dans le passé la musique était la plus grand partie du «film»… alors j’ai adoré la musique et comment la musique était vraiement ce qui donnait les moments de tension etc. Vraiment genial. 🙂

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Don Camillo

A comedy about a priest who talks with god and a communist major who fight (with wits) all the time. Do I really need to say more? Because lemme tell you, the film is as funny as the concept sounds.

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